Photographe-auteure

  • Vente de tirages d’art numérotés
  • Réalisations de reportages événementiels (Artisanat, Culture & Sport)
  • Photos produits de créations artisanales 

Dijon et ses alentours (région Bourgogne Franche-Comté uniquement)

SIRET : 97838325500012 ; Code APE : 9003B

Pour toute demande d’informations, contactez-moi via le formulaire de contact ou à l’adresse électronique suivante : elodiejarrierphotographie@gmail.com

Enfance bourguignonne

Bourguignonne, je suis née en 1983 à Paray-le-Monial où j’ai vécu mon enfance dans une famille proche de la nature. Ma mère m’a éveillée très tôt aux loisirs artistiques et créatifs (vannerie, peinture sur soie, aquarelle, collage, etc.). Mon père m’a quant à lui transmis son amour des animaux et de la nature, à travers de longues promenades sur les chemins de campagne ou en sous-bois avec nos chiennes beauceron (Prisca, Diana, puis Gypsie) et son accompagnement lors des séances d’équitation.

Nature en héritage

Cette proximité avec la nature est un véritable héritage familial. Dès mon plus jeune âge, j’ai observé la passion, l’affection et le dévouement de mes proches (grands-parents, oncles, tantes, cousins et cousines) agriculteurs ou éleveurs (vaches, chèvres, chevaux, etc.) envers leurs bêtes. Mes lectures d’enfance me conduisaient également toutes vers le règne animal, le monde du vivant. Je rêvais de devenir vétérinaire ou primatologue, vénérant l’engagement de femmes telles que Diane Fossey, Jane Goodall ou Claudine André.

Parcours académique

L’école a été un doux refuge. J’aurais aimé être étudiante toute ma vie. C’est sans doute pour cela que j’ai cumulé différents cursus, tous complémentaires les uns des autres (masters en langues étrangères appliquées ainsi qu’en management des activités culturelles et touristiques, et doctorat en sciences de gestion) avant de devenir enseignante-chercheure, d’abord comme maîtresse de conférences à l’IAE d’Angers, puis comme professeure associée à la Burgundy School of Business.

Parenthèse angevine

L’Anjou, où j’ai vécu de 2016 à 2021, a été le berceau de ma pratique photographique. Dôtées de nombreux cours d’eau, de multiples zones humides et réserves ornithologiques, les basses vallées angevines sont devenues un terrain de jeu, mais surtout de contemplation privilégiée, dans les pas de nombreux photographes locaux également passionnés d’ornithologie (Francis Cauet, Fabrice Lenfant, Jacques Fleury, David Pillet, etc.). Camouflée dans l’intimité d’un buisson, entre deux cours en amphithéâtre, je fais l’école buissonnière et quitte mes habitudes très scolaires pour apprivoiser mon réflex et capturer la beauté des héronnières et autres scènes naturalistes alentours (parc Balzac, Lac de Maine, Arboretum Gaston Allard, étang Saint-Nicolas, prairies de la Baumette, marais de Montreuil-Juigné, La Bohalle, Ménitré, Saint-Mathurin sur Loire, etc.).

D'enseignante-chercheure à photographe-auteure

En tant que chercheure, je me suis longtemps intéressée à l’expérience artistique vécue, à la médiation numérique, aux artistes entrepreneurs (directeurs de compagnies, comédiens, plasticiens, danseurs, etc.) ainsi qu’au concept de transport narratif. Ces éléments ont constitué mes objets de recherche jusqu‘à ce que je décide, durant l’année 2023, en raison de problèmes de santé importants et d’une appétence toujours grandissante pour la photographie, de devenir moi-même un sujet, en initiant une reconversion comme photographe auteure.

Parallèlement à mon activité photographique, je débute à l’automne 2023 une formation de psychopraticienne en art thérapie multi-référentielle à l’Institut PsyArtFormation à Chalon-sur-Saône.

Le fil conducteur de toutes ces expériences est un désir d’accompagnement, de médiation et de valorisation au service des acteurs œuvrant en faveur de la promotion des arts, du tourisme, de l’artisanat et de la protection de la nature.

« L’amour embrasse toutes les saisons du temps et les rassemble. En une seule seconde, il fait une gerbe de tout l’or de l’autre. On n’a qu’une vie, et on l’écrit en la vivant. Les ratures sont nos blessures. /…/ Parfois même les ratures sont belles comme des enluminures. » Christian Bobin – La Lumière du monde